« Le travail c’est la santé » chantait Henri Salvador. Il avait peut-être raison quand il a écrit les paroles de sa chanson, mais savait-il qu’un fléau majeur accompagne le travail ? Des vagues d’incidents ont mis en lumière la réalité du stress qui touche les actifs du secteur public et privé et impacte le bien-être au travail.
Pour endiguer cette épidémie, nous devons rapidement comprendre les raisons sous-jacentes de ce phénomène. Le manque d’opportunités sur le marché du travail et l’effilochage du tissu social habituel – sont des explications clés mais trop faciles. Attribuer cette tendance au seul revenu ou à une baisse de la vertu ne serait pas raisonnable. Une cause encore plus fondamentale se cache à la croisée de la psychologie et de la biologie : une épidémie de stress généralisée qui affecte dramatiquement toutes les personnes actives, sauf si nous arrivons rapidement à en comprendre la source et prenons les bonnes mesures pour y remédier.
Le stress, un lourd tribut pour les entreprises
Selon une étude récente dirigée par l’OMS, les troubles courants liés au stress du travail représentent plus de 50 millions d’années de travail perdus et coûteraient à l’économie mondiale mille milliards de dollars par an en perte de productivité. Rien qu’en Europe, L’OMS a constaté que la mauvaise santé mentale coûtait en moyenne 140 milliards de dollars par an. D’autre part, les troubles de dépression et d’anxiété imposent à l’employeur et à l’économie un lourd tribut, supérieur de 30% aux autres problèmes de santé (en raison de la durée moyenne de l’absence bien plus longue).
Le bien-être au travail influence la santé et la productivité, et un environnement de travail néfaste peut entraîner des problèmes de santé physique et mentale, d’alcoolisme ou encore des abus de substances psychoactives. C’est un cercle vicieux qui est très compliqué à endiguer. Le risque de souffrir d’une dépression, d’hyperstress ou de burn-out peut être contré en évitant certains écueils pour la santé mentale au travail.
Que faire ?
Seule une prise de conscience généralisée et une modification radicale des mentalités pourraient apporter des changements durables.
Cette prise de conscience pourrait se développer sur un principe de rationalité économique : un employé moins stressé est un employé plus productif.
De nombreuses solutions commencent à apparaître pour lutter contre ce fléau : Klaxoon délivre des solutions digitales pour un travail en équipe plus productif, Nestor propose chaque jour un nouveau menu de chef, très accessible et unique, livrés aux salariés dans l’heure directement au bureau et contribue à leur équilibre en variant leurs repas, ou encore Julie Desk libère de la gestion de son agenda. Ces solutions sont conçues pour améliorer le bien-être collaborateur. Avec un temps limité, mieux vaut ne pas le gaspiller dans des tâches répétitives mais plutôt se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, et se sentir ainsi plus épanoui dans son travail.
Dans un monde où les échanges se multiplient, l’intelligence artificielle vient épargner les tâches répétitives et fastidieuses que sont les nombreuses itérations liées à l’organisation des rendez-vous et de l’agenda, pour permettre à chacun de se concentrer sur ce qui compte vraiment.
Au quotidien, les technologies accélèrent tout et ne laissent plus une minute à l’actif, si bien que le stress en milieu professionnel reste une thématique bien présente. Néanmoins, l’intelligence artificielle vient assister les actifs et leur offre une plus grande autonomie et une plus grande efficacité dans le travail. En son temps, Microsoft a donné à chacun le pouvoir de se passer d’une sténo et la capacité de réaliser très rapidement les plus belles présentations. Des outils de productivité, comme Julie Desk ou Klaxoon en sont le prolongement naturel. L’actif augmenté ne fait que commencer.